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2014

Tomislav Sunić : «L’Union européenne est en train de s’autodétruire»

À l'occasion des élections européennes qui devraient déplacer plus de 380 millions de citoyens du 23 du 25 mai prochain, la revue Éléments a lancé une grande enquête auprès de tous ses (nombreux) correspondants et amis européens sur l'état de l'Union européenne. Premier invité : le Croate Tomislav Sunić. Ancien diplomate, professeur de sciences politiques, traducteur et écrivain, il est l'auteur de La Croatie un pays par défaut ?

Tomislav-Sunic

Tomislav Sunić et son épouse Ksenija (Xenia) Bakran-Sunić, auteur d'un recueil de poèmes «L'ancienne vie est morte/The Old Life is dead»

Éléments : Depuis 2010, les sondages Eurobaromètre montrent invariablement que le pourcentage global des Européens défavorables à l’Union européenne est constamment supérieur à celui des Européens qui lui sont favorables. Les déceptions qu’a engendrées jusqu’ici la construction européenne doivent-elles oui ou non remettre en question l’idéal d’une Europe politiquement unie ? Pourquoi faire l’Europe ?

Tomislav Sunić : L’idée de la construction de l’Union européenne relève d’un pur constructivisme académique, du « wishful thinking » des bien-pensants occidentaux qui fut très à la mode suite à la Deuxième Guerre mondiale. Ce constructivisme européen, « à la yougoslave » ou « à la soviétique », quoique jamais exprimé officiellement, eut comme but d’endiguer la prétendue hégémonie allemande, et par détour, d'accélérer la disparition de tous les peuples européens. Or, les développements de cette construction européenne, depuis le Traité de Rome et, surtout, depuis le Traité de Maastricht, ont rétrospectivement démontré le dilettantisme de ses architectes, ainsi que le caractère surréel et donc fragile de cette construction hyperréelle. L’Union européenne est en train de s’autodétruire.

En quoi le projet européen tel qu’il a été pensé, vous rappelle le constructivisme « yougoslave » ou « soviétique » ?

Tomislav Sunić : Le bric-à-brac de l’état multiculturel qui fut naguère l’ex-Yougoslavie fut un projet sorti ex nihilo de Versailles et de Trianon, voué donc à l’échec dès sa naissance. Le rassemblement forcené et par des oukases belgradois (à la bruxelloise) de peuples divers mena fatalement à la méfiance de tous contre tous. Idem pour l'Union soviétique. Ces deux constructions remontaient au jacobinisme français. L’Union européenne n’est aujourd’hui que le mime des deux exemples yougoslave et soviétique, qui ont déjà donné naissance à tant de haine mutuelle en Europe de l’Est et en Eurasie. L’Union européenne, telle que nous la voyons sur la mappemonde, aura une courte durée. Hélas, le prix sera élevé.

Un an après l’entrée officielle de votre pays au sein de l’Union européenne le 1er juillet 2013, quel est l'état d'esprit des Croates vis-à-vis des institutions européennes ?

Tomislav Sunić : Nul. Le Croate moyen est en train de déchanter. Après la première extase face aux images de l’Occident qui chante tout en versant gratuitement de l’argent aux nouveaux membres de l’UE, on est aujourd’hui témoin d’une vraie métastase institutionnelle en Croatie. Je vous renvoie sur le rapport de Reuters sur la Croatie du 5 mai 2014 (ici (Reuters Croatie)) qui a établi un bon certificat de décès de l’économie croate et son marché du travail. Pour chaque employé on dénombre un retraité (1,2 million d’ouvriers vs 1,2 million de retraités). Le chômage parmi les jeunes croates dépasse celui des Espagnols.

L'Euro étant devenu un sujet majeur de discorde entre les peuples européens, faut-il dissoudre la monnaie unique pour sauver l'Europe ou doit-on défendre bec et ongles l’Euro ?

Tomislav Sunić : L’Euro n’est pas la source des problèmes de l’Union européenne. Ces problèmes sont plutôt la conséquence du mauvais fonctionnement de l’UE. Pourquoi ne pas garder l’euro, à l’instar du dollar, comme moyen de transactions financières transeuropéennes et internationales, tout en gardant les monnaies nationales pour les activités des économies nationales ? Ainsi chaque pays européen serait en mesure de fixer le taux de change de sa monnaie locale en fonction de la hausse ou de la baisse de son PIB.

Doit-on souhaiter la dissolution de l’Union européenne ou préférer cette Europe imparfaite ? Peut-on refonder la construction européenne sur d’autres bases ? Lesquelles ?

Tomislav Sunić : Toute dénomination d’Union européenne, que ce soit sous le nom de « Reich », ou sous le nom d' « Union européenne », ou bien sous n’importe quel autre signifiant est souhaitable, pourvu que son signifié exprime les bases réelles de ses peuples différents, à savoir leurs fonds culturels et spirituels. En l’occurrence, le Saint Empire allemand ou même l’Empire austro-hongrois, vu leur longue durée historique, présentaient davantage de stabilité et de viabilité pour leurs peuples que l’Union européenne actuelle.

Dans la dernière livraison de la revue Éléments, Félix Morés écrit que l’Union européenne a souffert des élargissements aux États d’Europe centrale et orientale qui ont diminué les chances de parvenir à une Union politique. Faut-il plaider pour une Europe à plusieurs vitesses ? À un noyau dur autour d’une Europe des six ?

Tomislav Sunić : La proposition hypothétique d'une « Europe à plusieurs vitesses » s’inscrit dans la logique capitaliste et globalitaire. L’Europe à « deux vitesses » sera donc dès le début vouée à l’échec, ou pire encore aux guerres civiles incessantes. En revanche, une Europe, même une Europe davantage élargie, dont les peuples partagent des idées communes, à savoir le sens de leur identité locale d’une part, et leur rôle commun de grande puissance, de l’autre, peut nous donner encore une chance.

Dans ce cadre, où arrêter les frontières de l'Europe ? Quelle est l'architecture juridique qui privilégiera au mieux, selon vous, le respect des identités locales et le rôle de grande puissance de l'Europe ?

Tomislav Sunić : Ah bon. Où donc ? Dans le 12e arrondissement de Paris ou bien à Kreutzberg, ou à Neukölln, au sud de Berlin ? Ou bien à Marseille ou à Brixton, au sud de Londres ? Il vaut mieux alors que j’aille à Timgad ou à Lahore pour chercher sur les limes d’anciens Européens. Nous tous, qu’on s’appelle identitaires, nationalistes, terriens, tous épris de la glèbe ancestrale, cessons donc avec nos querelles tribales. Les frontières européennes se trouvaient jadis à Troie en Asie donc, chez les Phrygiens, chez Hector, Priam, et la belle Cassandre. Mes ancêtres croates ont dû passer par l’Hindou-Kouch et par le Caucase, il y a quelques millénaires, avant de s’installer sur la belle côte adriatique. Aujourd’hui, on trouve davantage de bons Européens à Buenos Aires ou à Sidney qu’à Paris ou à Londres. Avec nos guerres claniques, que ce soit les Russes contre les Ukrainiens ou les Serbes contre les Croates, on ne fait qu’une belle offrande aux ennemis de l’Europe.

Rasse und Gestalt : unsere Identität von Dr. Tomislav Sunic

Rede anlässlich des Lesertreffens der Zeitschrift "Volk in Bewegung" vom 14.September 2013 im Harz

Der Ausdruck „Identität“ hat heute eine gewisse Popularität in verschiedenen politischen und akademischen Kreisen erworben, obgleich dieser Ausdruck mehrdeutig und nicht immer angemessen ist. Welche Identität? Wir sollten klar die Linie zwischen Volk und Rasse bzw. Volksbewußtsein und Rassenbewußtsein ziehen. Diese zwei Begriffe sind keine Synonyme, obgleich sie sich oft überschneiden. Zum Beispiel ist ein weißer Flame kein Wallone - und ein weißer Serbe will überhaupt kein Kroate sein, obgleich beide von derselben rassischen Art sind.

Rassenidentität spielt bei vielen weißen nationalgesinnten Amerikanern eine viel stärkere Rolle als zwischen europäischen Völkern. Aber auch die Volksidentität manifestiert sich in Amerika anders als in Europa. Weiße Amerikaner haben mit der traditionellen volksgebundenen und kulturgebundenen Staats- und Volksidentität der weißen Europäer wenig gemeinsam. Zudem gibt es in englischer Sprache kein entsprechendes Wort für das deutsche Wort „Volk“ oder „völkisch“. Es steht außer Frage, daß „Rasse“, oder sagen wir es in einer politisch korrekten Weise, unsere „Erbanlage“, oder unsere Heredität, auf unbewußter Ebene die vorrangige Rolle bei uns allen spielt, obgleich wir das oft nicht wissen oder wissen wollen. Wir können die Schminke auf unserem Gesicht ändern, wir können unsere Pässe ändern, wir können unsere Staats- und Volksangehörigkeit ändern. Wir können auch unser Kulturbewußtsein ändern und auch unsere Heimat verlassen. Aber es gibt keinen Weg, unsere Erbanlagen, die uns von unseren Ahnen übergeben wurden, zu entfernen. Das Problem liegt in der Tatsache daß sich die meisten von uns dieser biologischen Tatsache nicht bewußt sind. Stattdessen orientieren wir oft unsere Identität nicht an unserem Rassenbewusstsein, sondern an den herrschenden Ideen des Zeitgeistes.

Seit dem Zweiten Weltkrieg unterliegt das Wort „Rasse“ schweren ideologischen, polemischen, mitunter auch juristischen Auseinandersetzungen und wird allmählich aus dem deutschen und amerikanischen Wortschatz getilgt. Stattdessen benutzen Akademiker und Politiker heute in Amerika und Europa das Wort „ethnisch“. Aber das Wort „ethnisch“ ist kein Synonym für „rassisch“. Im Allgemeinen kann man sagen, daß es große ethnische bzw. völkische Unterschiede zwischen artverwandten weißen Europäern gibt - aber große rassische Unterschiede zwischen artverwandten Europäern kann man schwer darstellen. Vor dem Zweiten Weltkrieg jedoch benutzte man in Europa und Amerika in den Studien über die verschiedenen Völker der Erde fast nie das Wort „ethnisch“ wie es heute der Fall ist. Stattdessen verwendeten damals Politiker und Akademiker Ausdrücke wie „Rasse“, „Rassenkunde“ und „Rassenpflege“. Das Wort „Rasse“ war zu dieser Zeit ein neutraler Ausdruck in anthropologischen und medizinischen Betrachtungen der unterschiedlichen europäischen und nichteuropäischen Völker.

Heute haben das Wort „Rasse“ und das Adjektiv „rassisch“ eine kriminalisierende Bedeutung empfangen, sodaß diese nur benutzt werden dürfen, wenn man über „Rassenkrawalle“ redet oder wenn ein Weißer angeblich einen Nichtweißen beleidigt. Sofort wird dieser weiße Mann als „Rassist“ abgestempelt. Nun gibt es aber eine Inkonsequenz in dieser neuen Sprachregelung. Nach der liberalen Wertauffassung gibt es keine rassischen, sondern nur ethnische Identitäten. Wenn diese Argumentation stimmen sollte, dann sollte es logischerweise auch keine Rassisten mehr geben. Moderne Systemtheoretiker bedürfen jedoch des Feindbildes der sogenannten weißen Rassisten, auch wenn es keine gibt, um ihre Theorien über das angebliche Nichtbestehen der Rassenidentität zu legitimieren.

Auf unbewußter Ebene fühlen wir uns alle zu unserer Art hingezogen, wie Prof. Kevin MacDonald schrieb. Das ist besonders der Fall im Notfall. Wenn wir nach Afrika oder Asien reisen und dort in einem Hotel absteigen, suchen wir automatisch einen Blickkontakt mit unseren weißen „Doppelgängern“ an der Rezeption. Hier in der BRD oder anderswo in Europa ist das noch nicht der Fall - aber das ändert sich heute rapide. Es gibt Orte in Berlin - ganz zu schweigen in LA, oder unten in der Unterwelt der Pariser U-Bahn, - wo ein weißer Passagier spät in der Nacht froh ist, wenn er eine Person seiner Rassenart erkennt, egal ob er Pole, Kroate, Linker oder Rechtsradikaler ist. Der flüchtige Augenkontakt zwischen beiden spricht Bände in bezug auf ihre plötzlich abgerufene gemeinsame weiße Rassenidentität.

Man könnte hier auch Carl Schmitt paraphrasieren, nämlich dahingehend, daß man über seine Souveränität, - bzw. unsere Identität - nur im Ernstfall am besten entscheiden kann, beziehungsweise seine weiße Identität nur im Ernstfall am besten wahrnehmen kann. Zum Beispiel, wenn sich eine große Krise anbahnt, wie etwa vor dem Zusammenbruch des ehemaligen multikulturellen Jugoslawien. Damals wußte jeder Bürger, ob er Kroate oder Serbe war, ob er er ein “impliziter“ oder “expliziter“ Nationalist war. In Zukunft würde das bedeuten, ob er Weißer oder Schwarzer ist, ob er Deutscher oder Kroate ist, oder welcher Volksgruppe oder Rassengruppe er angehört und wem er seine Treue schwören soll. Sollte er diese ungeschriebenen biologischen Regeln seiner Rasse und Volksidentität vergessen, wird ihn der „Andersartige“ im Ernstfall wie zum Beispiel während einer interrassischen Schlägerei in Neukölln oder Cleveland daran erinnern, welcher Sippe und welcher Ethnie, beziehungsweise welcher Identität er angehört oder angehören sollte.

Natürlich müssen wir die Auswirkungen der nicht-europäischen Zuwanderung und die Gefahr einer rassischen Mischlingsgesellschaft in Europa kritisch erörtern. Ein solches Mischlingseuropa ist eine echte Gefahr für alle weißen Europäer, auch für die ehemaligen Feinde, wie etwa im Falle der Polen und Deutschen, oder der Kroaten und Serben. Aber wenn wir nur den Faktor der Rasse als Identitätshauptmerkmal benutzen, laufen wir Gefahr, in die Falle der reduktionistischen Schlußfolgerungen zu geraten. Allerdings: ehe wir die nicht- weiße Zuwanderung nach Europa kritisieren, sollten wir uns fragen, wer deren Drahtzieher ist und welche Ideen hinter dieser Masseneinwanderung stehen. Das endlose Gewinsel über angeblich böse Zuwanderer, die den Zusammenbruch Amerikas und Europas verursachen, ist Zeitverlust.

Darüberhinaus gibt es unzählige Beispiele, wo die gleiche Rassenidentität nicht unbedingt zur Einigkeit oder Frieden, sondern auch zum interethnischen Haß führen kann. Hier spielt die Volksidentität und Volkszugehörigkeit eine weit größere Rolle als Rassenidentität. Hypothetisch gesprochen, auch wenn nur weiße Leute in Amerika oder in Europa in einem völlig homogenen weißen Lande leben würden, kann uns niemand versichern, daß auch dieser weiße Ethno-Staat nicht bald durch interne Spaltungen und Bürgerkriege geplagt würde. Diese Bemerkung beweist, daß der Faktor der Kultur, Religion oder Ideologie immer eine stärkere Rolle in der Identitätsbildung spielt als der Faktor der Rasse, der noch immer auf unbewußter Ebene bei vielen Leuten schwebt. Wir dürfen nie vergessen, daß unsere europäische Identität auf unzähligen Bürgerkriegen beruht. Seit 2000 Jahren wurde schreckliche Gewalt von Weißen an Weißen verübt, die oft weit über die reale oder vermeintliche weiße Gewalt gegen Nicht-Weiße hinausragt. Wo sollen wir beginnen? Mit dem amerikanischen Bürgerkrieg? - Als Leute des gleichen rassischen Erbes sich gegenseitig umbrachten? Ähnlich im Bürgerkrieg in Spanien. Oder beim jüngsten Krieg auf dem Balkan, dessen Gewalt jenseits aller Vorstellungskraft liegt? Der Dreißigjährige Krieg in Europa war häßlich; er forderte Millionen Tote unter den Deutschen. Auch dieser Krieg wurde inmitten von Menschen der gleichen Art gekämpft.

Es gab und es gibt noch immer weiße Europäer, die alles tun würden, um mit Andersartigen zu kollaborieren und damit ihre Erbanlagen verleugnen. Zum Beispiel war der türkische Angriff auf Europa im 16. und 17. Jahrhundert nicht nur rassisch bestimmt - er hatte auch religiöse Wurzeln. Viele christliche serbische, ungarische weiße Sippen und weiße Kriegsherren waren eifrig bestrebt, aus ihren eigenen Machtgründen mit den türkischen Behörden auf dem Balkan zu kollaborieren. Auf internationaler und diplomatischer Ebene war das katholische Frankreich unter Ludwig XIV. fester Verbündeter der Türken im 17. Jahrhundert. Ludwigs Hauptziel war die Schwächung des Heiligen Deutschen Reiches und die Zerstörung ihrer Verbündeten in Mitteleuropa. Rassenidentität hat in der Machtpolitik immer eine kleinere Rolle als Theologie oder Ideologie gespielt. Im Nibelungenlied heiratet die Königin Kriemhild nach dem Tod ihres Mannes Siegfried durch Hagen von Tronje den asiatischen König, den Hunnen Attila oder Etzel genannt, um sich damit an ihren eigenen Leuten zu rächen.

Rasse ohne Rassismus

Auch von der phänotypischen Perspektive betrachtet sollte man nie Rasse mit Religion oder Kultur verwechseln: In Mitteleuropa, ganz hier in der Nähe im benachbarten Bosnien, einem Land, das 400 Jahre ein rassisches Juwel des Osmanischen Reiches war, gibt es eine große Zahl muslimischer Bürger mit blonden Haaren und länglichen Gesichtern, mehr als unter den christlichen Serben oder Kroaten. Aber die gegenseitig ausschließenden Selbstwahrnehmungen dieser drei Völker und ihrer Identitäten, ihre gegenseitigen Selbstbilder sind Meilen voneinander entfernt. Die weißen Muslime in Bosnien gehören zu einem ganz anderen Kulturkreis. Übrigens: die meisten Einwanderer in die USA sind Katholiken, die folglich nach Ansicht hiesiger Christen auch unserem Kulturraum entsprechen sollten. Aber rassisch sind diese Einwanderer völlig anders als wir; die meisten sind Mestizen aus Lateinamerika.

Der Zweite Weltkrieg, wie uns der Historiker Ernst Nolte lehrt, war weitgehend ein europäischer Bürgerkrieg zwischen den artverwandten Mächten und Völkern aus dem gleichen Gen-Pool. Drei verschiedene Großmächte kämpften gegeneinander - gelegentlich auch mit der Hilfe ihrer Nicht-weißen Verbündeten. In der deutschen Wehrmacht gab es auch kleine Einheiten von Arabern, Indern und Turkstämmen im Kampf gegen die weißen liberalen kolonialen Angelsachsen und die kommunistischen Sowjets. In Frankreich (und das ist kein Witz!) gibt es noch immer Leute, die berichten, wie die amerikanischen Soldaten nach der Landung in der Normandie im Sommer 1944 einige gefangene Soldaten in deutscher Uniform für japanische Solden hielten. Sie wußten nicht, daß diese asiatischen Soldaten in der deutschen Wehrmacht als Freiwillige aus den deutsch besetzten Sowjetrepubliken gedient hatten.

Selbst unter idealen rassischen Umständen, auch wenn es keine nichteuropäischen Einwanderer mehr in der BRD gäbe, ist es fraglich, wie unser gleiches weißes Erbe als Identitätsgebäude dienen könnte. Was mich besorgt, ist nicht der Mangel an weißen Menschen, sondern die Frage der Rasse und des Charakters, sowie der Rasse und Seele der weißen Europäer. Ein gut aussehender weißer Mann oder eine gut aussehende Frau in der BRD kann oft einen kriminellen oder gar opportunistischen Charakter haben. Viele von uns haben in Amerika und teilweise auch in Europa eine Grosszahl selbsternannter und verderblicher weißer Nationalisten kennengelernt, die uns großen Schaden zufügen. Diese haben ein nordisches Äußeres, aber eine völlig andere Rassenseele. Das betrifft besonders die sogenannten Weißen, die ihre Rasse nur im körperlichen Sinne wahrnehmen.

Wir begegnen täglich einem solchen Paradox. Die deutschen Linken zum Beispiel, die sogenannten Antirassisten und die Antifas sind meistens weiße Leute. Wenn wir das rassische Profil der sogenannten Antifas in der BRD beobachten, die sich für die Nicht-weißen Zuwanderer in ihren Großdemonstrationen einsetzen, bemerken wir sofort, daß diese Linken meistens weißer Herkunft sind. In ihren Versammlungen findet man nur wenige Nicht-Europäer. Die Pathologie der weißen Schuld würde eines separaten Vortrags von mir bedürfen. Die Schuldkomplexe sind heute ein Teil der neuen negativen Identität geworden, die man gerade in Kirchenkreisen bemerkt. Auch die Nicht-weißen außereuropäischen Opferlehren sind heute eine neue Religion geworden. Derzeit ist einem weißen Politiker oder Akademiker in der BRD oder in den USA klar, daß er zunächst sein weißes Erbe verleugnen muß, wenn er eine gute Kariere im System machen will.

Rasse ist eben nicht nur etwas Biologisches – es ist auch eine geistige Gestalt. Als metaphysische Grundlage des Rassenbegriffes kann nur ein starkes und gemeinsames Kulturbewußtsein helfen. In Julius Evolas traditionalem Rassenverständnis folgt die Körperlichkeit immer dem Geistigen:

„Der Irrtum gewisser Rassenfanatiker, die meinen, die Wiederherstellung einer Rasse in ihrer ethnischen Einheit bedeute ipso facto die Wiedergeburt eines Volkes, liegt gerade darin; sie betrachten den Menschen, wie man „reinrassige“ Pferde oder Katzen oder Hunde betrachten könnte. Die Bewahrung oder Wiederherstellung der Rassereinheit im engeren Sinn kann bei einem Tiere alles sein, nicht aber beim Mensch“.

Dies ist oft der Fall bei vielen weißen Nationalisten, die sich nur auf die anthropologische Seite ihres Körpers fokussieren und damit den „Rassengeist“ vernachlässigen. Hier möchte ich den großen Dichter und Denker Gottfried Benn zitieren:

„Nur der Geist – Geist als Entscheidungsfähigkeit, Maßsinn, Urteilshärte, Prüfungsschärfe – bildet das Körperliche eines Volkes oder eines einzelnen dahin aus, daß man von Rasse und Züchtung sprechen kann ( Die Griechen liebten und bildeten gewiß den Leib, aber sie bildeten auch die Dialektik, die Rhetorik, die Geschichtsschreibung, die Tragödien und die ersten Ansätze des Individualismus aus. (Gottfried Benn, p. 801, Geist und Seele künftiger Geschlechter)“

Eine Frage an uns alle: Was wäre besser für die multikulturelle BRD oder die USA oder für ganz Europa in der nahen Zukunft: ein neuer nichteuropäischer Caracalla (das war ein römischer Kaiser nordafrikanischer Abstammung) als Staatsoberhaupt, oder ein neuer Heliogabal, der arische Gesichtszüge hatte, aber dessen kurzes Leben eine Parade der Päderastie und der Dekadenz war? Wie sollten die weißen Europäer und Amerikaner sich entscheiden zwischen diesen zwei Übeln? Ein mögliches verkommenes weißes Europa kann nicht die Antwort auf das Multikulti-System sein. Demzufolge sollte die Identität der weißen Europäer und Amerikaner in einer breiteren rassenseelischen Art und Weise verinnerlicht und gestaltet werden.

Ferner schreibt Ludwig Clauss in seinem Buch „Rasse und Charakter“:

„Denn Rasse ist nicht wie noch heute in Laienkreisen vielfach geglaubt wird, ein Klumpen vererbbarer Eigenschaften ( z.B. Begabungen: musikalische Begabung, Organisationstalent, Intelligenz, usw.), sondern ein vererbbares Gestaltgesetz, das sich in allen Eigenschaften, welche auch immer der einzelne haben mag, auswirkt und ihnen Stil verleiht. Nicht am Haben bestimmter Eigenschaften erkennt man die Rasse eines Menschen, sondern an dem Stile, in dem er diese Eigenschaften gebraucht“.

Weisser Selbsthass; Christliche Wurzeln

Unser genetisches Erbe ist der Hauptteil unserer Identität insoweit es eine gute geistige Richtung hält. Schöne weiße Körper stehen keinesfalls für einen guten Charakter. Nur der Rassengeist kann der Identität eines Volkes oder eines Mannes die endgültige Ausweiskarte verschaffen. Wenn die wahrscheinlichen Unruhen morgen beginnen und auch ein möglicher Zusammenbruch des heutigen Systems stattfindet - und dies kann nicht mehr ausgeschlossen werden - werden die Grenzlinien zwischen Freund und Feind durchaus nicht völlig klar sein. Wir sollten bereit sein, uns zahlreichen Feinden unserer rassischen Art entgegenzustellen. Deshalb sollte unser Hauptziel sein, diejenigen weißen Individuen zu entlarven, die ihr weißes Äußeres, ihre rassische Identität als ein Hobby, als Zeitvertrieb, als modischer Trend oder als Geldgeschäft benutzen, und uns damit als dumm und als öffentliche Bedrohung darstellen. Unser Ziel muß es sein, diese verderblichen Weißen, die ihre europäische Identität in einer kriminellen Weise ausnutzen wollen, zu meiden. Unser Ziel muß sein, unseren Rassenstolz zu bejahen, aber in erster Linie, wie unsere Vorfahren dies taten, unseren Sinn für das Tragische zu beleben. Nur auf diese Weise können wir weiterhin unseren faustischen Kampf weiterführen, unabhängig von der Tatsache, wie viele von uns auf dem Schlachtfeld bleiben werden.

Die Ursachen des massiven Selbsthasses bei den breiten Schichten der weißen Bevölkerung in Amerika und Europa können direkt zum Christentum und seinen säkularen Ablegern zurückverfolgt werden. Also: die christliche Gleichheitslehre mit seinen heutigen Ablegern im Liberalismus und Marxismus ist die Hauptursache des sogenannten Antirassismus und Selbsthasses sowie der heutigen Mischlings-Multikultigesellschaft. Es ist nutzlos, irgendwelches Rassenbewußtsein oder Volksbewußtsein zu beleben und uns gegen massive Einwanderung der Nichteuropäer zu wehren, ohne zunächst das Erbe des Christentums zu bekämpfen und zu entfernen. Es ist auch sinnlos, gegen Marxismus oder Liberalismus und Multikulturalismis den Kampf zu führen, ohne ihre anthropologischen Wurzeln des Christentums zu beseitigen.

Der judeo-christliche Monotheismus ist unser Hauptfeind!


«Das Christentum, aus jüdischer Wurzel und nur verständlich als Gewächs dieses Bodens, stellt die Gegenbewegung gegen jede Moral der Züchtung, der Rasse, des Privilegiums dar.» (Nietzsche)

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Jesus-Zitate in der Bibel: “Wer Vater und Mutter mehr liebet denn mich, der ist meiner nicht wert.” (Matthäus 10,37). Und um es klarer zu formulieren: “Und wer verläßt Häuser oder Brüder oder Schwestern oder Vater oder Mutter oder Weib oder Kinder oder Äcker, um meines Namens willen, der wird’s hundertfältig nehmen und das ewige Leben erheben.” (Matthäus 19,29).

Jesus spricht offen aus: “Ihr sollt nicht wähnen, daß ich gekommen sei, Frieden zu senden, auf der Erde; ich bin nicht gekommen, Frieden zu bringen, sondern das Schwert. Denn ich bin gekommen, den Menschen zu erregen wider seinen Vater und die Tochter wider ihre Mutter und die Schwiegertochter wider die Schwiegermutter. Und des Menschen Feinde werden seine Hausgenossen sein” (Matthäus 10,34-36).

Oder an einer anderen Stelle: “Meinet ihr, daß ich gekommen bin, Frieden zu bringen auf Erden? Ich sage: Nein, sondern Zwietracht. Denn von nun an werden fünf in einem Hause uneins sein; drei wieder zwei, und zwei wieder drei.” (Lukas 12,51-52).

Aristides von Mysien schreibt im 2. Jh.n.d.Ztr. folgendes: “Dagegen sind sie geschickt, Häuser zu untergraben und Familien in Verwirrung zu bringen, indem sie ein Familienmitglied gegen das andere hetzen und sich der Leitung der häuslichen Angelegenheiten bemächtigen.”

Das Prinzip dieser Strategie ist so einfach wie genial und böse. Die Strategie mag zwar uralt sein, aber klappte 1968 perfekt. Was geschah damals? Die Kinder wurden gegen die Elterngeneration aufgehetzt, es wurden Familien zerstört und es wurde dadurch eine allgemein marxistische Gesinnung in der Gesellschaft, vor allem in Politiker- und Intellektuellenkreisen etabliert. Die Auswirkungen sieht man heute noch. Um eine neue Mentalität zu etablieren, müssen die Zielpersonen aus ihrem Umfeld herausgelöst werden. Dieses Umfeld bezieht sich nicht nur auf die elementarste Zelle eines Volkes, sondern auch auf Volk und Rasse. So haben die Kirchen Europas Geld für Kinder in Afrika, Asien, Südamerika, aber kein Geld für hiesige. Warum? Die Not der einen ist größer. Darum die Nächstenliebe und der Verdienst bei Hilfe ebenso. So rechnet der Christ. Darum werden Ausländer von der Kirche gefördert. Die Caritas unterstützt und berät die Ausländer in rechtlichen Fragen, wenn sie “diskriminiert” wurden. Pfarrer fördern die Ansiedlung von Ausländern. Von diesem Standpunkt aus wuchert der Gleichheitswahn des Christentums in die Köpfe der Menschen.

http://logr.org/etschlichter/2013/12/07/ueberwindung-des-christentums-teil-5/

Der Gleichheitswahn der Christen ist die Ursache für jede Auflösung der Gemeinschaft, die nur durch Hierarchie zu Stabilität und Effizienz gelangt. In der Bibel steht:“Denn was hoch ist unter den Menschen, das ist ein Greuel vor Gott” (Lukas 16,15). Und allgemein gilt: “Denn wer sich selbst erhöht, wird erniedrigt, und wer sich selbst erniedrigt, wird erhöht” (Matthäus 23,12). “Die Gleicheit der Seelen vor Gott” ist eines der größten Dogmen, das bis heute unser Denken dominiert. In den Sprachgebrauch der Liberalen übersetzt:“Was kann ein Schwarzer dafür, daß er in Afrika und nicht hier geboren wurde?!” Als ob es keine seelischen Unterschiede zwischen mir und ihm gäbe. An dieser Stelle setzt Nietzsche ein: “Und unterschätzen wir das Verhängnis nicht, das vom Christentum aus sich bis in die Politik eingeschlichen hat! Niemand hat heute mehr den Mut zu Sonderrechten, zu Herrschaftsrechten, zu einem Ehrfurchtsgefühl vor sich und seinesgleichen, – zu einem Pathos der Distanz . . . Unsre Politik ist krank an diesem Mangel an Mut! - Der Aristokratismus der Gesinnung wurde durch die Seelen-Gleichheits-Lüge am unterirdischsten untergraben; und wenn der Glaube an das »Vorrecht der meisten« Revolutionen macht und machen wird, das Christentum ist es, man zweifle nicht daran, christliche Werturteile sind es, welche jede Revolution bloß in Blut und Verbrechen übersetzt! Das Christentum ist ein Aufstand alles Am-Boden-Kriechenden gegen das, was Höhe hat: das Evangelium der »Niedrigen« macht niedrig.” In die heutige Zeit übersetzt: Der Drogenhändler, der kriminelle Ausländer, der Nichtsnutz, der Drogenabhängige, die Prostituierte sind demnach wahre Christen! Gerade zu Beginn des 20. Jh. hat sich in solchen “Gesellschaften” der Kommunismus verbreitet. Und die Frau von Rudi Dutschke hat ihre Doktorarbeit über Kommunismus und Urchristentum geschrieben. Und siehe da: Da gibt es einige Parallelen. Alles, was durch natürliche Auslese aus dem Lebenskampf wegfallen würde, wird nun erhöht und zum Ideal gemacht. Konsequenterweise wird das höhere Leben dann zum Feinbild. Nietzsche dazu: “Es [das Christentum] hat einen Todkrieg gegen diesen höheren Typus Mensch gemacht, es hat alle Grundinstinkte dieses Typus in Bann getan, es hat aus diesen Instinkten das Böse, den Bösen herausdestilliert: – der starke Mensch als der typisch Verwerfliche, der »verworfene Mensch«. Das Christentum hat die Partei alles Schwachen, Niedrigen, Mißratenen genommen, es hat ein Ideal aus dem Widerspruch gegen die Erhaltungs-Instinkte des starken Lebens gemacht; es hat die Vernunft selbst der geistig stärksten Naturen verdorben, indem es die obersten Werte der Geistigkeit als sündhaft, als irreführend, als Versuchungen empfinden lehrte.”

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Nietzsche: “Man darf zwischen Christ und Anarchist eine vollkommene Gleichung aufstellen; Ihr Zweck, ihr Instinkt geht nur auf Zerstörung. Den Beweis für diesen Satz hat man aus der Geschichte nur abzulesen: Sie enthält ihn in entsetzlicher Deutlichkeit.”

Jesus verkehrt im Neuen Testament die jüdische Nächstenliebe (Im Alten Testament galt die Nächstenliebe nur dem Mitjuden.) zu einem Pazifismus, der zerstörerischer als jeder Krieg über die Länder hinwegfegte. Jesus predigte, daß man nicht nur die Angehörigen der eigenen Gruppe lieben sollte, sondern die anderer Gruppen – bis hin zum Feind. Jesus sagt: ”Ihr habt gehört, daß da gesagt ist (2. Mose 21,24): Auge um Auge, Zahn um Zahn. Ich aber sage euch, daß ihr nicht widerstehen sollt dem Übel; sondern wenn dir jemand einen Streich gibt auf deine Backe, dem biete die andere auch dar. Und wenn jemand mit dir richten will und deinen Rock nehme, dem laß auch den Mantel.” So ein Verhalten ist völlig antievolutionär. Tiere oder Menschen, die so in der Vergangenheit gehandelt haben, gibt es nicht mehr. Das Tier wäre verhungert, weil es sich ständig sein Futter klauen gelassen hätte. Der Mensch wäre erfroren. Aber es gibt noch mehr dieser Stellen in der Bibel: ”Ihr habt gehört, daß gesagt ist (3. Mose 19,18): Du sollst deinen Nächsten lieben und deinen Feind hassen. Ich aber sage euch: Liebet eure Feinde; segnet, die euch fluchen; tut wohl denen, die euch hassen…” (Matthäus 5,43). Wer tut das? Kann man einen Feind hassen (lieben!), wenn man nicht unbedingt sterben möchte? “Denn wer das Schwert nimmt, wird durch das Schwert umkommen” (Matthäus 26,52). Es gibt genügend Leute, die getötet, verletzt oder vergewaltigt wurden, die nicht das “Schwert” genommen haben. Hätten sie es wohl eher genommen.

http://logr.org/etschlichter/2013/12/28/ueberwindung-des-christentums-teil-6/

Dr. Tomislav Sunic
Schriftsteller

Ulrichsberg: Mahnort oder Wegweiser neuer Katastrophen?

Auszug aus der Rede von Prof. Dr. Tomislav Sunic am 15. September 2013

Neue Ordnung (Graz) IV/13, EDITORIAL Neue Ordnung Der Ulrichsberg ist ein Abbild von zahllosen deutschen und zahllosen europäischen, bzw. kroatischen, ungarischen, italienischen, belgischen und französischen Gedenkorten. Was uns mit Ulrichsberg verbindet, verbindet uns auch mit dem kärntnerischen Bleiburg oder dem sächsischen Dresden. Im kroatischen Geschichtsbewusstsein hat das Wort „Bleiburg“ einen ganz besonderen Klang, so wie der Name Ulrichsberg eine besondere Bedeutung für Sie hat. Wenn man das Wort Bleiburg in Kroatien ausspricht, denkt man nicht an schöne Wälder, einen Skiurlaub oder ein Shoppingzentrum in Kärnten. Das Wort Bleiburg ist im kroatischen Wortschatz fast ein metaphysischer Begriff geworden für den allgemeinen kroatischen Werdegang.

Bleiburg ist nicht Sinnbild für einen schönen romantischen Ort, sondern ein Symbol für die biologische Katastrophe Kroatiens. Im Mai 1945 waren hunderttausende flüchtende Kroaten, auch viele Kosaken, Montenegriner, Serben und Slowenen meistens Zivilisten, von den anglo-amerikanischen Alliierten aus Südkärnten an die jugo-kommunistischen Schergen ausgeliefert worden. Wir sollen auch hier die Millionen der vertriebenen Deutschen aus Schlesien, Pommern, aus dem Sudetenland und dem Donauraum, aber auch aus Kärnten nicht vergessen. Leider gelten noch immer zweierlei Maßstäbe, wenn wir der Toten der Nachkriegszeiten gedenken. Wie uns der große deutsche Staatsrechtler Carl Schmitt lehrte, liegt hier eine gefährliche Problematik im modernen Völkerrecht und demzufolge in der Ideologie der Menschenrechte vor, und daher auch mit unserem Gedenktag heute und morgen. Für viele Medienleute und „Antifaschisten“ heute gelten die Leute, die durch Kärnten im Sommer flüchteten, als Monster oder Ungeziefer. Wie sollen die Menschenrechte für die Ungeziefer und Undemokraten gültig sein? Für die sogenannten Monster kann es keine Gedenkstätte geben. Diese verdienen keine Trauer und keine Träne. Sie verdienten deren Meinung nach den Tod. Man wirft uns manchmal vor, unser Leiden und unseren Gedenktag hochzuspielen, um die faschistischen Verbrechen zu relativieren. Das ist Unsinn. Diese These kann leicht umgekehrt werden. Die Systemhistoriker und die Meinungsmacher vergessen, dass jede einseitige Opferlehre konfliktstiftend ist: Jede einseitige Opferlehre beharrt auf ihrer eigenen Einzigartigkeit und beruht immer auf den Kosten der anderen Opfer. Die viktimologische Atmosphäre im heutigen Multikulti-Europa verleitet jeden Stamm, jede Gemeinschaft, jeden nicht-europäischen Zuwanderer zu der Annahme, nur seine Opferlehre sei wichtig und einzigartig. Jede Opferlehre steht mit den anderen im Wettbewerb und letztendlich muss der Zusammenstoß erfolgen. Solche einseitige Opferrollenmentalität dient nicht der Konfliktverhinderung und dem Frieden. Sie führt zur multiethnischen Gewalt und macht den künftigen Konflikt unausweichlich. Das Problem liegt in der Tatsache, dass man gegenseitige Opfer - so viel man sie kriminalisieren und relativieren mag - , nicht sehr lange Zeit verbergen oder verschweigen kann. Oder anders formuliert, abgesehen von unserer angeblichen Instrumentalisierung unserer Opfer: Warum hört man wenig, fast nichts in den Schulen oder in den Universitäten über das Leiden der Deutschen, Kroaten und anderen Völker kurz nach dem Zweitem Weltkrieg? Durch die heutige Verharmlosung und Relativierung der alliierten Nachkriegsverbrechen entsteht kein Klima gegenseitigen Verständnisses und der Versöhnung, sondern ein Klima der falschen Mythologien und kollidierenden Opferlehren, wobei sich jeder Mensch, und jeder Stamm als Opfer seines jeweiligen Nachbarn fühlen muss. Das Schulbeispiel ist wieder der Zusammenbruch des ehemaligen Kerker – und Kunststaates Jugoslawien, wo die verlogenen und falschen kommunistischen Opferlehren der Hauptgrund für den Krieg im Jahre 1991 waren. Die kommunistischen jugoslawischen Hofhistoriker hatten nicht ein gegenseitiges Verständnis zwischen den jugoslawischen Völkern herbeigeführt, sondern gegenseitigen Hass und Krieg. Geben wir uns - liebe Kollegen und Kameraden - keinen Illusionen hin. Der Ulrichsberg ist nicht nur ein verdienter Mahnort gegen Kriege oder ein Platz zur Versöhnung, oder ein Ort des Gedenkens. Ulrichsberg kann symbolisch auch ein Menetekel von großen baldigen Katastrophen sein. Was uns in den folgenden Jahren erwartet, kann man sich schon jetzt vorstellen. Manche von euch, manche von uns, die ein verlängertes Geschichtsbewusstsein haben, wissen gut, dass eine Welt zu Ende ist. Die kommende Welt wir schlimm sein. Aber die kommende Welt bietet uns allen eine Chance. Der Redner ist kroatisch-amerikanischer Politikwissenschaftler und Vorstandsmitglied der Amerikanischen Freedom Party.